D’une session à l’autre, les plaintes des étudiants se noient dans les dossiers d’évaluation des professeurs et des chargés de cours. Clientèle mécontente ou non, les nombreux recours prévus par l’Université rendent l’étape du congédiement presqu’impensable. Au local des étudiants du baccalauréat d’animation et recherches culturelles, la conversation s’anime quand on parle de l’évaluation de l’enseignement. «Ça fait plein de fois qu’on se plaint et le prof est encore là!, se désole Marie-Soleil*, finissante de...
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